1974. Comme une nichée d'oiseaux, les Vialhe se sont éparpillés. Certains sont tombés, loin des terres corréziennes, d'autres poursuivent ailleurs leur vol. Seule une poignée d'entre eux tâche de maintenir le domaine. Bon an mal an, Saint-Libéral est déserté. La toute nouvelle génération hésite à revenir, comme les engoulevents, au nid qui les a vus naître. Les engoulevents, dit-on, chantent aussi la mort... En ces heures d'exode, le glas du village a-t-il vraiment sonné ?