Si l'orage de la Grande Guerre est passé loin de Saint-Libéral, le sillon qu'elle a laissé n'en est pas moins profond. Le vieux monde a disparu. Les paysans n'en sont plus. Jean-Edouard Vialhe lui-même, le têtu patriarche, en convient. C'est à son fils, et à ses petits-enfants, de composer avec la modernité. Une modernité faite de nouvelles saignées, de nouveaux défis, de nouvelles misères. Car ce que prend la terre, la terre ne le rend pas toujours...